L’heure du bilan, on y est presque. Bilan provisoire, déjà lourd. Le grand rassemblement populaire du dimanche violemment dispersé, d’après un plan on dirait désuet mais qui se répète cependant sans cesse au gré… des besoins primaires de la caste des mondialisateurs et assimilés qui nous gouvernent. Le grand jeu de chaises musicales au “Parlement” est en cours afin de permettre la ratification de l’accord macédonien de Tsípras, les petits partis sont pulvérisés puisqu’ils n’ont plus suffisamment de députés pour former un groupe parlementaire. Peu importe, c’est leur rôle qui prend fin. Les soi-disant casseurs et les Aubedoriens qui n’ont pas été du reste auront de leur côté “travaillé” sur le terrain ; lorsque les politiciens lobbyistes auront parachevé leur forfait: faire régner la peur, l’amertume, voire l’impuissance. Bûches brulées, pays sur les braises.
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Dispersion du rassemblement, photo de Kostís Ntantámis. Presse du 20 janvier |
Des élus qui lâchent leurs petits partis pour se ranger derrière SYRIZA devenu de fait minoritaire si l’on considère que ses propres députés, voilà pour l’actualité des pantins engagées. Thanássis Papachristópoulos, élu du parti des Grecs Indépendants qui se dit certes dégouté et annonce sa démission… seulement après avoir d’abord voté en faveur de l’accord… étranges motivations se disent ainsi certains à Athènes. Et depuis dimanche, ces Images du rassemblement populaire et de son histoire immédiate, comme celles réalisées par le reporteur Kostís Ntantámis, pigiste pour l’agence Sputnik, il a été blessé au cours de la manifestation et transporté à l’hôpital, son équipement lui a été volé. D’après l’Union des photojournalistes de Grèce, l’attaque contre les journalistes photos lors de la manifestation à Athènes a été “préméditée”, ces derniers “étant les cibles des agresseurs”.
Autre agression violente, celle du reporteur et documentariste Thomas Jacobi correspondant de la Croix ; il est entre autres le réalisateur d’un film documentaire sur l’Aube dorée et d’après ses déclarations, il avait été reconnu par des Aubedoriens sur place. “On aurait dû mettre nos casques et masques de protection, se désole la journaliste Angélique Kouroúnis, en poste à Athènes” peut-on lire à travers le reportage.
Les organisateurs du rassemblement ont publié certaines photos des dits casseurs, et ce qu’il faut retenir déjà, c’est que la presse, surtout internationale elle aura encore une fois donné comme image dominante, celle des casseurs et des agresseurs néonazis ou pas, tous réels comme autant fabriqués, sauf que l’essentiel réside ailleurs. Répétons-le, l’accord que Tsípras et sa bande déjà politiquement mafieuse imposent de la sorte par ce Putsch, viole d’emblée la Constitution, autant que l’esprit et la lettre des supposées institutions du très présumé régime démocratique. Andréas Dimitrópoulos, universitaire constitutionnaliste à la faculté d’Athènes joint par les journalistes de la radio 90.1 FM mardi matin 22 janvier, a dressé toute la liste des violations, article par article.
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Rassemblement à Sýntagma. Athènes, le 20 janvier 2019 |
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Casseurs et assimilés vus près de Sýntagma. Athènes, le 20 janvier (presse grecque) |
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La dispersion du rassemblent. Athènes, 20 janvier (presse grecque) |
Et quant au procédé utilisé, voilà que la composition du Parlement issu des élections de septembre 2015, pour ce qui est des partis et des équilibres, elle n’est plus, et à la radio… en ce même mardi matin, le journaliste Yórgos Trángas sur 90.1 FM évoque avec amertume: “ces possibles millions de dollars ou d’euros versés du côté d’Athènes par les Puissances et par les lobbys à la Soros, justement pour faire passer cet accord. Ainsi, Tsípras est trop pressé pour parachever le travail et cela se voit trop, peut-être, que les valises sont déjà arrivées. Kamménos se montre furieux mais il est sans doute trop tard pour lui.”
“Un soir j’étais invité chez Kamménos, du temps où il était encore Ministre de la Défense. Je lui pose alors directement la question: ‘Quand bon sang quitteras-tu ce gouvernement dont la politique est si manifestement contraire aux intérêts fondamentaux du pays, rien qu’à travers le dossier macédonien ?’ Réponse de Kamménos: ‘Lorsque les États-Unis et Israël me donneront le signal.’ Je ne peux pas en dire davantage tant que je me trouve sur le sol… mouvant grec, chers auditeurs.”
“Sauf que la trahison finira par même étrangler Tsípras. Certes, le système des Puissances essayera à faire renaître le bipartisme grec, entre SYRIZA/PASOK et la Nouvelle Démocratie, pourtant, ce plan ne fonctionnera pas. SYRIZA retournera pratiquement et à terme à ses pourcentages des années 2000, et alors, un grand parti et mouvement patriotique finira par naître et il accédera même au pouvoir. Il ne faut pas se leurrer, nos seuls alliés sont les alliés de la Deuxième Guerre mondiale, à savoir, les Américains et les Anglais, et nous devons les convaincre davantage, tandis que les Allemands ont été toujours des ennemis de la Grèce”, 90.1 FM, zone matinale du 21 janvier 2019.
Parmi mes amis, il y en a qui trouvent ces analyses publiques fort insupportables, étant donné que dans la mesure où elles peuvent être vraies, elles ne provoquent pas une réaction collective, disons saine et salvatrice. Des auditeurs de l’émission de Trángas lui adressent ainsi leurs messages très nombreux, exprimant en somme toute l’agonie ontologique et nationale alors lente et terrible:
“Nous sommes paralysés, eh bien… que fait-elle la Justice ? Et que fait-elle enfin notre Armée ? Ces crimes des politiciens finiront par faire de nous des assassins”, message d’une femme en colère lu en direct, radio 90.1 FM. Mon ami M. prend parfois ses distances et pour ce faire, il se retire pour quelques jours auprès les moines du Mont Athos. “C’est d’une autre vérité, c’est un monde réel, alors insoupçonnable depuis notre quotidien factice”, me dit-il, après m’avoir envoyé ses photos du Mont Athos que je publie ici avec son autorisation.
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Athènes, le 20 janvier 2019 |
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Animaux adespotes au Mont Athos. Janvier 2019 |
Et du côté de l’autre monde, le nôtre, le journaliste Trángas poursuit dans son élan durant cette matinée du 22 janvier 20919: “Tsípras est un agent de Soros, et il l’a d’ailleurs rencontré plusieurs fois via Varoufákis, Tsípras est autant la marionnette, le Premier ministre Quisling de Merkel, et quant à Soros, il a placé ses agents à la fois chez Tsípras que chez Mitsotákis. Du temps où Kamménos était au Ministère, il avait conçu sa propre agence de renseignements, espionnant Tsípras, SYRIZA et surtout Kotziás le très compatible Soros au Ministère des Affaires Étrangères démissionné depuis peu. Kotziás a fait de même depuis son Ministère à l’encontre de Kamménos, sauf que Kamménos en sait davantage sur les Syrizístes que ces derniers sur lui. Cela promet !” Info ou alors intox, et pourquoi donc de tels propos publiquement tenus n’éveillent pas, si ce n’est que la simple curiosité de la Justice ?
En effet, Kamménos a publiquement déclaré “que l’accord Macédonien n’a pas été imposé par les États-Unis, j’ai posé directement la question à ceux de l’administration Trump car je les connais et je suis un ami des États-Unis, non, pour que cet accord passe, c’est Merkel et l’Europe qui pressent. Et je dirais même que l’accord est même capable de dynamiter les accords de Yalta relatifs aux Balkans, et je vous le dis, cela va mal se terminer, peut-être dans un bain de sang”, médias grecs du 22 janvier 2019.
Les manifestants du dimanche dernier sont temporairement sans doute rentrés chez eux, par cars entiers débordant d’amertume humaine ils ont emprunté l’autoroute du Nord depuis Athènes, ou des navires appareillant à destination des îles. Cirque d’hiver à Athènes, et qui n’est hélas pas le dernier. Trángas, après avoir rappelé “que Tsípras a grandi au sein d’une famille de promoteurs immobiliers réalisant des affaires avec et par les Colonels et de ce fait il est un clone des Colonels sous l’épiderme de la gauche, pour ne pas évoquer en plus le cas des familles grecques enrichies sous l’Occupation et que les Allemands ont toujours aidé et protégé à Athènes, des années durant la bien longue incubation de la nouvelle Allemagne”, il estime “que ce Tsípras des deux à trois dernières années offre en plus l’image de l’expression du corps comme du visage, trahissent un homme mentalement atteint, autrement-dit, souffrant de troubles sévères.”
Aux antipodes du psychisme de Tsípras, nos manifestants du dimanche, ont très chaudement applaudi la chanteuse Aphroditi Manou, pour sa prise de position lors du rassemblement: “Aléxis Tsípras, te souviens-tu de ce juillet 2015 lorsque j’avais chanté pour toi et pour le ‘NON’ au référendum et voilà que tu me jettes tant de lacrymogènes maintenant. Te souviens-tu qu’après ton discours, tu t’es rendue dans ma loge pour boire un verre de ma bouteille d’eau? Je ne peux plus respirer Aléxis, arrêtez-les. Elytis, Gátsos, le grand Séféris, nos poètes et tant d’autres, Rítsos, Tsaroúchis, Fassianos, Míkis Theodorákis, Mános Hadjidákis, Mélina Merkoúri, Stávros Xarhakos et Yánnis Markopoulos, Nikos Gavriil Pentzikis, voilà les ‘vrais fautifs’. Car ils ont semé en nous cette graine, ils ont marqué notre vie de leur souffle et des valeurs qui sont alors les nôtres. Et voilà que l’on dit de nous… que nous sommes des ‘imbéciles et des nationalistes’, c’est à eux donc qu’il faut alors le dire. Nos racines sont profondes. Nous allons tenir. Si les politiciens pensaient faire confiance à nous au lieu de procéder à ces choix criminels, nous les aiderions alors pour trouver une autre solution, et de toute notre âme.” Voilà ce qui n’a pas été relevé par exemple par les médias internationaux, à part bien entendu que l’atmosphère est devenue étouffante à cause des gaz lacrymogènes et des casseurs et autres agresseurs… déjà des évidences.
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Mont Athos. Janvier 2019 |
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Par bateau. Port en Attique, janvier 2019 |
On jugerait en d’autres circonstances certains propos de Trángas de complotistes comme d’extrémistes. Mais c’était avant, bien avant, désormais, le puzzle se complète tout seul… et surtout il n’aura pas besoin de nous, sinon pour le défaire. Trángas ne dira certes pas toute la vérité, et il se déclare alors proche des Anglo-Saxons à chaque occasion, sauf qu’il n’est pas démenti, ni attaqué en Justice, et que son récit corrobore avec les numéros du cirque d’hiver politique qui est disons le nôtre, et qui ne nous divertira alors plus jamais.
De son côté, l’universitaire philosophe et théologien Chrístos Yannarás n’écrit pas autre chose à travers ses chroniques, celles que Kathimeriní publie, pourtant presse très autorisée, le style est différent mais et pourtant:
“Ils portent le titre de la ‘Gauche radicale’, pourtant, ils n’hésitent pas un seul instant à ‘lécher là exactement où ils ont craché durant des années’: Ils n’ont pas hésité à vendre les idéologies, les dogmes et les étendards révolutionnaires, à changer d’identité politique du jour au lendemain. Ils n’ont pas hésité à ignorer un référendum populaire qu’ils ont eux-mêmes provoqué comme à se transformer sans la moindre vergogne en valets des marchés financiers et de l’OTAN, comme autant, de se transformer en petits compères de Merkel. Et tout cette ridiculisation, uniquement pour le plaisir du pouvoir.”
“Dans le contexte actuel de la culture mondialisée et des impressions d’une réalité alors préfabriquée, l’Histoire n’est plus écrite par les épigones de Thucydide mais par ces ‘intellectuels organiques’, ces mandarins embauchés au service des marchés financiers et de l’OTAN. En Grèce, les mandarins locaux, manifestement et de manière alors flagrante, ils se passionnent pour la réélection de Tsípras lequel a été acheté de manière même ostentatoire, ou de celle de Kyriákos Mitsotákis manifestement insuffisant. De Fófi Genimatá du PASOK, de Stávros Theodorákis du parti de la Rivière, des Aubedoriens, voire autant, des staliniens incurables du PC, voilà ce qui complète ainsi la procession funéraire. Et dire que nous avons été gouvernés par de concitoyens au psychisme alors malade, c’était souvent vraisemblable. Aujourd’hui c’est alors flagrant”, quotidien “Kathimeriní” du 20 janvier 2019.
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Un premier bilan du rassemblement au café. Athènes, le 20 janvier 2019 |
Dimítris Konstantakópoulos, il faut dire durant un autre temps conseiller à la Défense et aux Affaires étrangères pour SYRIZA, avant son accession au pouvoir, journaliste alors expérimenté et fin analyste des réalités grecques et géopolitiques de notre temps bien lourd, il adresse depuis son blog un appel désespéré à l’encontre de Tsípras:
“Je me suis rendu à la manifestation du dimanche, comme ce fut le cas l’année dernière. Je veux, à chaque fois que je le peux, voir de mes propres yeux et ainsi entendre ce que les gens ont à dire, leur parler et me faire ma propre opinion. Malgré les déclarations trompeuses et ridicules de la Police, le rassemblement était très massif et révélait ainsi toute l’inquiétude que suscite cette affaire pour une partie alors la plus importante du peuple grec. La présence massive de la jeunesse était même très impressionnante.”
“Je ne souhaite pas commenter les descriptions hideuses de la presse progouvernementale, rappelant les pires périodes du stalinisme grec et mondial. Les manifestants ayant participé au rassemblement, ils étaient pour la plupart les Grecs ordinaires. Rien de plus, rien de moins.”
“J’espère que le Premier ministre ainsi que les députés, comprendront enfin que la question de cet accord Macédonien n’appartient pas à la thématique ordinaire, courante, ceci parce qu’il touche à l’identité la plus profonde du peuple grec. Dès le début, lorsque cette question a été soulevée en janvier 2018, j’ai souligné qu’il ne peut être résolu que par un référendum. Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur cet Accord, il doit être soumis à référendum avant son éventuelle ratification, le soumettre alors au jugement du peuple grec, comme cela a également été réclamé par grand nombre de personnalités, parmi eux d’éminents représentants de notre culture, tels que Míkis Theodorákis, personnalités venant autant de la gauche que de la droite.”
“C’est la seule solution qui préservera la démocratie comme son fonctionnement à travers notre système politique, autant d’ailleurs que l’unité nationale du peuple grec et empêchera pour tout dire l’apparition de facteurs qui favorisent le Schisme, la division. Aucun Grec, démocrate et patriote ne veut voir dans notre pays une telle situation aux conséquences à chaque fois dévastatrices pour les Grecs, voire de Guerre civile, à chaque fois qu’elles sont apparues dans notre histoire”, Dimítris Konstantakópoulos sur son blog, le 21 janvier 2019.
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La fin du rassemblement. Athènes, le 20 janvier 2019 (presse grecque) |
Peine visiblement perdue et pourtant émouvante. Au soir du 22 janvier lorsque ceux des partis (supposés) de l’Opposition ont réclamé le texte final des amendements que ceux de Skopje auraient apporté à leur Constitution, histoire de dégager les articles ouvertement irrédentistes aux dépens des pays voisins, notamment la Grèce et la Bulgarie, sans quoi, l’Accord macédonien ne devait même pas être discuté au Parlement d’Athènes, Katroúgalos, ministrion délégué aux Affaires Étrangères et surtout étranges, a présenté la version en anglais, imprimée et téléchargée depuis le site Internet du Parlement de Skopje, en précisant que les changement n’y figurent pas parce qu’au pays voisin, on y ajoute seulement des Annexes à la fin du texte fondamental. Il a même promis sa traduction en grec en sollicitant toute la bonne science… des services de son ministère, presse grecque du 21 janvier 2019. Ahurissant.
Peine donc visiblement perdue. Comme pour les textes du mémorandum de la Troïka, les députés Syrizístes, et à l’époque aussi ceux de la nouvelle Démocratie et des autres partis aujourd’hui pulvérisés, ils ne l’auront même pas lu. Ainsi Tsípras et les siens, ils auraient été achetés comme le suggèrent des analystes si différents, à l’instar de Trángas ou de Yannáras, et on dirait que ces Syrizístes l’ont bien cherché et voulu. Cela se nomme un crime, et plus précisément celui de la haute trahison. Telle est en tout cas l’idée que les Grecs se partagent de plus en plus.
Dans les cafés, à travers les médias, dans la rue, des Grecs évoquent alors de plus en plus souvent les termes de l’article 120 de notre Constitution: “Le respect de la Constitution et des lois qui y sont conformes, ainsi que le dévouement à la Patrie et à la République constituent un devoir fondamental de tous les Hellènes. L’usurpation, de quelque manière que ce soit, de la souveraineté populaire et des pouvoirs qui en découlent est poursuivie dès le rétablissement du pouvoir légitime, à partir duquel commence à courir la prescription de ce crime. L’observation de la Constitution est confiée au patriotisme des Hellènes, qui ont le droit et le devoir de résister par tous les moyens à quiconque entreprendrait son abolition par la violence.” Histoire de se consoler ?
L’heure du bilan, on y est presque. Bilan provisoire, déjà lourd. Votre… blog observe alors médusé, et il participe comme il peut à la tragédie actuelle, c’est-à-dire, devant ce crime organisé d’en haut. Je remercie les lectrices/lecteurs et ami(e)s du blog pour leur soutien essentiel en ces terribles moments.
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Merci. En Attique, janvier 2019 |
Ne l’oublions pas, la Grèce n’est qu’un exemple, hélas, il y en a bien d’autres. Ailleurs aussi, actualité oblige, la presse systémique évoque un “nouveau texte de coopération et d’intégration”. Les peuples intéressés en jugeront.
Bilan provisoire, déjà lourd, pauvres peuples. Bûches brulées, pays sur les braises
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Votre… blog observe alors médusé. Mimi et Hermès de Greek Crisis, janvier 2019 |
* Photo de couverture: Au Mont Athos, janvier 2019