Nous publions ici quelques articles sur la situation des réfugiés :
Publié sur RFI Migrants et réfugiés :situation chaotique dans les îles grecques http://www.rfi.fr/europe/20160402-migrants-refugies-tension-hotspots-iles-grecques-chios
Publié sur 20mn : Crise des migrants: Une cinquantaine de CRS débarquent sur l’île grecque de Lesbos
Publié sur Infogrèce : Le Parlement grec a amendé vendredi la législation sur le droit d’asile afin de permettre l’entrée en vigueur lundi prochain de l’accord conclu entre l’Union européenne et Ankara sur le renvoi de migrants en Turquie. Le texte a été adopté par 169 des 300 députés de la Vouli. http://www.info-grece.com/actualite/2016/04/01/la-grece-amende-sa-legislation-sur-l-asile
Publié le 30 mars sur le site d’Unité populaire : http://unitepopulaire-fr.org/2016/03/30/le-cynisme-ecoeurant-de-leurope-forteresse-par-mania-barsefski/
Publié sur le temps : http://www.letemps.ch/monde/2016/03/30/places-accueil-refugies-syriens-se-attendre
Traduit d’ANA MPA : Le Ministre délégué à la Politique migratoire Yiannis Mouzalas à la conférence du HCR sur les réfugiés à Genève
Mouzalas a rencontré le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés Filippo Grandi, le Directeur général de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), William Lacy Swing, le Conseiller spécial du Secrétaire général de l’ONU pour les migrations et les réfugiés Karen AbuZayd, le représentant spécial du Conseil de l’europe sur les migrations et les réfugiés Tomar Bocek, le secrétaire d’Etat adjoint américain Heather Higginbottom, le ministre turc des Affaires étrangères et le ministre des Affaires sociales du Liban Rachid Derbas.
Le ministre grec a expliqué que les centres d’accueil ne sont pas des centres de détention et a souligné que la procédure d’identification est effectuée en Grèce avec une sécurité de 100 pour cent. Toutefois, la procédure de relocalisation, qui dépend des actions des autres Etats membres de l’UE, est retardée tandis que la réinstallation de la Turquie vers d’autres Etats membres de l’UE n’a pas encore commencé.
En ce qui concerne la contribution des Etats membres à la demande de la Grèce pour renforcer les forces de Frontex (Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’UE) et EASO (Bureau européen d’appui ‘asile) elle ne dépasse pas 30 pour cent de cellei demandée.
Mouzalas a noté que l’accord est difficile à mettre en œuvre en raison de la participation d’un grand nombre de parties, la réponse de l’UE insuffisante sur l’aide promise, la position confuse de la Turquie et les procédures d’harmonisation des aspects juridiques de l’accord avec les traités internationaux.